[CRITIQUE] Astérix et Obélix contre César (1999)

OIP

Sortie : 03 février 1999 en France

Réalisation : Claude Zidi

Scénario : Claude Zidi, avec les dialogues de Gérard Lauzier, d’après la bande dessinée créée par René Goscinny & Albert Uderzo

Musique : Jean-Jacques Goldman & Roland Romanelli

Distribution : Christian Clavier, Gérard Depardieu, Roberto Benigni, Michel Galabru, Daniel Prévost, Pierre Palmade, Laetitia Casta, Claude Piéplu & Gottfried John.

Christian Clavier, Gérard Depardieu

Synopsis :

Le conquérant Jules César a des ennuis avec ces Gaulois : Détritus, officier fourbe et déloyal, lui a caché l’existence de ce petit village. Désireux de détruire ce dernier foyer d’insurrection et fatigué de l’incompétence du centurion Caïus Bonus, César vient en personne assiéger le village des irréductibles. Il a une bonne raison : Prolix, un faux devin, a poussé les villageois à voler le chariot renfermant l’argent de ses impôts.

© Steve Ketterlin

[CRITIQUE] : Le Dîner de cons (1998)

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Répliques cultes :

Oui oui il est là…très sympathique… Il a une belle tête de vainqueur.

– Il s’appelle Juste Leblanc. 
– Ah bon, il n’a pas de prénom ? 
– Je viens de vous le dire Juste Leblanc… Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste.

– Un con qui en moins d’une heure amène ta femme à l’adultère et toi au contrôle fiscal, c’est tout de même prodigieux !

Sortie : 15 avril 1998 en France

Réalisation : Francis Veber

Scénario : Francis Veber

Musique : Vladimir Cosma

Distribution : Thierry Lhermitte, Jacques Villeret, Francis Huster, Daniel Prévost, Alexandra Vandernoot & Catherine Frot. 

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Synopsis :

Tous les mercredis, Pierre Brochant et ses amis organisent un dîner où chacun doit amener un con. Celui qui a trouvé le plus spectaculaire est déclaré vainqueur. Ce soir, Brochant exulte, il est sûr d’avoir trouvé la perle rare, un con de classe mondiale: Francois Pignon, comptable au ministère des Finances et passionné de modèles réduits en allumettes. Ce qu’il ignore c’est que Pignon est passé maître dans l’art de déclencher des catastrophes. 

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Le Dîner de cons est un film français réalisé par Francis Veber, sorti en 1998. Veber adapte sa propre pièce de théâtre du même nom dans laquelle Jacques Villeret jouait le même rôle. Le film dure environ une heure et vingt minutes, contre deux heures pour la pièce originale. Le nom « François Pignon » est récurrent dans les œuvres de Francis Veber. On retrouve des personnages nommés ainsi sous les traits de Jacques Brel dans L’Emmerdeur, de Pierre Richard dans Les Compères et dans Les Fugitifs, de Daniel Auteuil dans Le Placard, et de Gad Elmaleh dans La Doublure. Gérard Depardieu voulait jouer François Pignon au départ, mais Francis Veber refusa catégoriquement et souhaitait que Jacques Villeret reprenne le rôle. Veber lui proposa de reprendre le rôle de Pierre Brochand, mais il se désista finalement au dernier moment et Thierry Lhermitte eut le rôle. Nommé six fois lors de la 24ème cérémonie des César en 1999, il obtient trois récompenses : meilleur acteur pour Jacques Villeret, meilleur acteur dans un second rôle pour Daniel Prévost et meilleur scénario original ou adaptation pour Francis Veber. Le film a connu un très grand succès au box-office avec plus de 9 millions d’entrées en salle. Ce qui lui a permis de prendre la seconde place de l’année 1998 derrière un certain Titanic. A ce jour Le Dîner de cons est classé 40ème des plus gros succès de tous les temps au box-office français. J’ai eu la chance de découvrir ce film au cinéma et depuis je l’ai revu des dizaines de fois, voici mon avis :

Ce que j’ai aimé :

  • Franchement TOUT 
  • Le scénario formidable et la mise en scène rythmée et très soignée de Francis Veber.
  • Ce quasi huis-clos qui ne donne pas l’impression de voir du théâtre filmé. 
  • Le duo formé par Villeret & Lhermitte qui fonctionne à merveille. 
  • La prestation ahurissante de Jacques Villeret qui a largement mérité son César !
  • Le casting impressionnant qui est d’une qualité rare. (Huster, Prévost, Frot, Vandernoot), tout le monde est excellent. 
  • Les enchaînements de malentendus et les retournements de situations. 
  • Toutes les scènes et répliques devenues cultes. 
  • Malgré les années, le film ne prend pas une ride. 
  • Une vraie comédie à la touche française que personne ne peut reproduire. 
  • La BO de Vladimir Cosma et la chanson générique de Georges Brassens. 

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Ce que j’ai moins aimé :

  • RIEN

 

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Conclusion :

Le Dîner de cons est le huitième film de Francis Veber en tant que réalisateur et scénariste. Il a réussi à adapter avec brio sa pièce à succès, en un film devenu culte au cinéma. Une comédie de boulevard à la mécanique imparable, porté par un tandem comique (Villeret/Lhermitte) au sommet de leur art. Aujourd’hui encore tout le monde connaît les fameuses répliques de ce phénomène français des années 90. Avec plus de 9 millions d’entrées, ce vaudeville est devenu le quatrième plus gros succès de la décennie. Je pense que tout le monde a vu ce classique au moins une fois dans sa vie, mais si ce n’est pas le cas, arrêtez tout de suite de lire cette critique et filez voir cette comédie rythmée a l’humour truculent et audacieux, vous ne serez pas déçu ! 

© Steve Ketterlin

[BANDE-ANNONCE] Maison de retraite (2022)

Maison de retraite est une comédie française réalisé par Thomas Gilou (à l’origine notamment de la trilogie La Vérité si je mens !), dont la sortie est prévue le 16 février 2022. Milann Rousseau (Kev Adams) est condamné à un travail d’intérêt général : il est intégré à une maison de retraite. Au casting outre Kev Adams on y retrouve Gérard Depardieu, Daniel Prévost, Marthe Villalonga, Mylène Demongeot ou Antoine Duléry. A noter que c’est le premier film produit par le tennisman Suisse Stan Wawrinka

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